Je considère fondamental pour un psychologue d’avoir une approche dite « intégrative ». À mes yeux, il n’existe pas de théories meilleures que d’autres et j’estime que la force de ma pratique réside dans ma capacité à puiser dans différents courants de pensées – cela me permet d’adapter au mieux la prise en charge en fonction des besoins du patient. Bien que ma formation soit principalement neuro-scientifique, je m’intéresse également à la psychanalyse, la systémie, au cognitivisme et au transculturel. Je me suis par ailleurs formée à la psychogénéalogie et j’utilise des exercices de TCC (thérapies cognitives et comportementales) dans ma pratique.

Mon approche est bienveillante et sans jugement. Personne n’est parfait, aucun parent n’est parfait : nous faisons tous de notre mieux avec ce que nous avons reçu. J’accorde beaucoup d’importance au lien créé avec le patient – que ce soit avec un enfant, un adolescent ou un parent : ce lien de confiance est la clé de la réussite. La thérapie et la guidance parentale sont des co-créations : le thérapeute ne peut pas faire grand-chose sans son patient qui, par ailleurs, est l’expert de sa vie. Que ce soit vous ou votre enfant, vous avez donc un grand rôle à jouer !

Dans la guidance parentale, il me semble important de préciser qu’il est fondamental que le(s) parent(s) soient motivés à l’idée d’en apprendre davantage sur le développement de leur enfant et à mettre en place quelques changements à la maison. Le patient est seul responsable de son évolution ; le thérapeute n’est qu’un guide. Je peux vous guider, mais je ne pourrai pas faire le travail à votre place.